Après une longue pause mais sans jamais oublier le modelisme , me voici de retour avec cette fois-ci l'envie de reprendre mon passe-temps de façon régulière.
A défaut de construire un nouveau bateau, je me suis repenché sur le voilier LEON (Ti-Martin, revue MRB N° 484 du mois de mars 2004 ) afin de lui apporter de nouvelles modifcations et améliorations.
Ce voilier construit en 2008, a été modifié en 2016 et repris en 2020/2021.
Entre temps l'adresse du blog "monchalutier' a changée pour revenir avec l'extension "@over-blog.com".
Aujourd'hui je me suis attaqué aux ridoirs à crochet émérillon.
Sur ce ridoir à crochet, seule la partie inférieur est moletée tandis que la partie supérieure est lisse, ce qui ne facilite pas le vissage dévissage surtout pour les gros doigts.
Du coup, j'ai inséré un petit écrou sur la partie supérieure de la façon suivante:
la partie surpérieur lisse est filetée avec une filière M4
un écrou diamètre intérieur 3.5mm (clé de 7) est ensuite vissé et peut être bloqué avec une goutte de cyano.
Et voila le résultat
Celui-ci se trouvant à la proue du voilier m'était de plus en plus difficile à dévisser, en raison de sa position près de la rambarde - pas facile de la serrer entre les doigts avec aussi peu de place.
Maintenant le démontage et remontage du mât en vue d'un transport sera plus facile
Après une nouvelle période d'absence, me revoilà !
Profitant du très beau temps et de la chaleur, j'ai décidé de peindre la coque du pousseur Springer tout juste terminée.
Du coup, j'ai ressorti la vedette Miami et le caseyeur qui étaient en souffrance depuis quelques temps (années même).
Donc journée Rouge Basque !
La coque du Springer complètement peinte en rouge basque après préparation.
La Vedette Miami 3000 construite en 2005 ou 2006 qui reprend un peu de jeunesse.
Le caseyeur qui est toujours en attente.
Ces trois bateaux sont tour à tour sur mon établi en avancent petit à petit sans oublier le voilier LÉON qui fait l'objet d'une attention particulière et avec lequel je passe de bons moment sur les plans d'eau.
Me voilà de retour après une période d'absence sur le net mais pas dans l'atelier.
Depuis le début de l'année je bricole de temps en temps et il faut dire, j'ai passé beaucoup de temps sur le voilier LEON.
Aujourd'hui j'ai travaillé sur un pousseur et de nombreux petits morceaux de baguettes ont été nécessaires pour le pavois.
j'ai d'abord commencé à les couper au cutteur mais je me suis vite fatigué.
Pourquoi ne pas utiliser la perceuse à colonne comme presse !
Au départ, j'ai mis la lame de cutter dans le mandrin mais au bout de 3 ou 4 coupes la lame a cassé. celle-ci était déformée par les mâchoires du mandrin.
J'ai alors pris un boulon dans lequel j'ai fait une encoche correspondant à peu près à l'épaisseur de la lame. De cette façon, la pression sur la lame ne se fait plus que de haut en bas.
En image c'est mieux !
Peut être que ce petit truc a déjà été publié ? je n'en sais rien
ça vaut ce que ça vaut ! et il demande à être amélioré.
Surtout, il ne faut pas brancher la perceuse et faire attention à ses doigts !
La coupe est franche et avec un peu plus de pratique, les découpes même de biais sont un vrai jeu d'enfant.
Après les fêtes, il est toujours bon de laisser un oeil traîner un peu partout. Il est vrai que la majorité des modelistes sont des rois de la récup et j'en fait partie.
L'autre jour, je me suis trouvé en présence d'une personne jetant une guirlande électrique à leds qui ne fonctionnait plus.
Ni une ni deux, je lui ai demandé si je pouvais la prendre, en lui expliquant bien sûr la destination des leds.
Je suis donc revenu à la maison avec une guirlande de 200 leds.
Après une rapide vérification, j'ai constaté que le boitier électronique ne fonctionnait pas mais peu importe. Les leds, elles, fonctionnent individuellement.
Un petit travail a été necessaire pour séparer et vérifier chaque Led.
Dans l'histoire, j'ai récupéré 50 leds rouges, 50 vertes, 50 jaunes et 50 bleues, les plus importantes étant bien sûr les rouges et vertes.
Alors si vous n'avez pas la chance de tomber sur une personne qui en met à la poubelle, faites le tour de votre famille et amis, il y aura bien quelqu'un qui se débarasse d'une guirlande à leds !
Installation de la caméra sur le roof du voilier "Léon"
Cette petite caméra est simplement installée sur le roof de façon à avoir une bonne vue vers l’avant.
Le plus difficile est de trouver un pas de vis correspondant à celui de la caméra.
Ici la vis utilisée provient d’un des supports fournis dans la boite (support pour l’installation sur un guidon de vélo).
Non content de cette installation, j’ai repris la vedette Miami. Il y a quelques temps j’avais commencé un nouveau toit équipé d'un mécanisme pour recevoir une petit appareil photo.
Le réducteur utilisé provient d’un magnétoscope !
Un réducteur de vitesse est installé sous le toit et à l'extérieur. J'ai bricolé un fiche Tv dans laquelle j'ai collé une vis. L'ensemble est collé avec de la double composant sur la grande couronne.
Le moteur est également récupéré dans un magnétoscope.
Il me reste encore à fignoler l'ensemble (peinture, trouver une courroie digne de ce nom, installer un petit variateur de vitesse etc..)
Toutes les fonctions du bateau seront commandées par une radiocommande 4 voies.
Et pour ce qui est des essais sur un plan d’eau avec plusieurs bateaux, il va falloir encore patienter un peu !
Une idée parmi d'autres: comment filmer et photographier son modèle naviguant préféré sans être obligé d'acheter une '' gopro "
Comme pratiquement tout le monde, j'ai un beau téléphone portable qui a entre une multitude de fonctions celle d'appareil photo qui permet également de filmer en mp4
le premier essai que j'ai effectué c'est en tenant l'appareil d'une main et la radio commande de l'autre.
J'ai pu filmer une peu mais ce n'est pas pratique.
Ne voulant pas acheter une caméra, j'ai pensé à la meilleure façon d'utiliser mon téléphone.
L'idée m'est venue à Paris en me promenant à Montmartre en voyant tout les touristes se prendre en photo à l'aide d'un bras téléscopique.
ni une ni deux, en rentrant je me suis mis au travail.
les matériaux de départ: une planche de bois et deux fixations murales de tringle à rideaux.
les fixations sont aplaties et fixées sur la planchette
la planchette est ensuite maintenue sous la radio-commande à l'aide de grands bracelets élastiques
le premier essai effectué dans l'atelier ne s'est pas révélé concluant;
le poids de l'appareil photo faisant basculer la perche vers l'avant
la planchette s'est avérée trop souple (contre plaqué de 3mm remplacé par du 10mm qui n'est pas plus lourd)
Deux de mes radios-commande ayant une poignée, j'ai rajouté une petite pièce de bois qui, passée dans la poignée maintient la planchette en place.
De plus lorsque le bras est déployé la planchette est maintenue en place par le poids du téléphone.
Depuis la planchette a été améliorée et adaptée aux deux radios-commandes.
voici la version finale du moment en quelques photos.
Poursuite de l'amélioration des commandes du gouvernail.
Au départ, la liaison entre le servomoteur et le guignol se faisait par deux tiges en alu. Elles étaient non réglables ce qui fait que le guignol était toujours de travers en position zéro
Cette fois-ci, j'utilise une tige de laiton de Ø 4mm.
Pour commencer, j'ai soudé un écrou Ø 4 sur la tige.
pour la soudure, j'ai utilisé pour la première fois de la pâte à souder et pour chauffer tout j'ai pris un petit chalumeau de cuisine trouvé en grande surface.
Pour effectuer la soudure et aligner parfaitement la tige, l'écrou est vissé sur une tige filetée métallique pour éviter que l'étain se colle dessus.
Le résultat est conforme aux exigences.
Pour assurer la liaison entre la tige et le guignol un morceau de tige filetée en laiton, toujours de Ø 4 mm, est soudé sur une tige en laiton dont le bout est aplati et percé.
une fois monté, l'ensemble permet de relier le servo au guignol et d'effectuer un réglage précis de la position du gouvernail